Avec leur nouveau projet insolite, la vocaliste Sascha Ley et laccordéoniste Nataa Gehl cherchent et recherchent un langage musical particulier, qui reflète aussi bien leur plaisir dexplorer des sons et sonorités, des mots et syllabes que la spontanéité de leur rencontre. Tout en créant un univers suggestif et original, leur musique vibrante se place à lintersection de propres compositions, du folklore imaginaire, du pop, rock, jazz et de la musique contemporaine et improvisée. Une performance étonnante, selon la presse allemande.
Sascha Ley, comédienne avec une prédilection pour des personnages et des histoires ambivalents, aime également cheminer de façon individuelle en ce qui concerne ses compositions et le chant. Dans ses excursions elle soriente vers le jazz, limprovisation libre, le folklore imaginaire et la musique contemporaine. Dans les dernières années elle a publié deux albums avec ses propres compositions.
Nataa Gehl, née et a grandie à Zagreb, Yougoslavie, a étudié la musique de chambre auprès du virtuose Hugo Noth à lacadémie de Trossingen (D). Elle a complété ses études au Conservatoire de Madrid. Depuis 2009 elle vit au Luxembourg, joue dans des ensembles de la musique classique et contemporaine. Nataa travaille e. a. avec les compositeurs Camille Kerger et Elisabeth Naske, et se produit régulièrement avec ses groupes niù trio et Selma Schaus Band.
Le nouveau duo de choc et de charme (Le Quotidien)
***
Aufregende Stimme, aufregendes Konzert ein bravouröser Auftritt. Ein herausragendes Konzert. Ein nicht eben konventionelles Programm jenseits klar definierter Genregrenzen.
Sascha Ley hat eine aufregende Stimme, und nicht minder aufregend ist, was sie hier im Duo mit Gehl im Spannungsfeld zwischen Chanson, Pop, Jazz, (Neuer) E-Musik und Folklore servierte. ... Wie ihre weltmusikalisch geprägten Eigenkompositionen traditionelle Einflüsse aufgreifen und dabei von der Lust am Experimentieren mit den Möglichkeiten der menschlichen Stimme zeugen - ein oft spontanes Jonglieren mit Klängen, Atemgeräuschen und Silben, von flüsterleisem Hecheln über puppenzartes Diskantfiepen bis zu kehliger Wucht. ... Dann wieder kommen uns Ley und die kongenial zurückhaltend begleitende Gehl nahezu klassisch daher, um bei Songs von Kurt Weill fernab aller bravourösen Stimm- und Tastenakrobatik ihre Qualitäten als Ausdrucksmusikerinnen auszuspielen. Kein Wunder, dass hier schon zu Anfang "Bravos" ertönten. (Kek/Pfälzischer Merkur)