Richard Bona, bass & vocals
Isamu McGregor, keyboards
Eli Menezes, guitar
Ludwig Afonso, drums
Tatum Greenblatt, trumpet
Imagine an artist with Jaco Pastorius’s virtuosity, George Benson’s vocal fluidity, Joao Gilberto’s sense of song and harmony, all mixed up with African culture. Ladies and gentlemen, we bring you Richard Bona! - Los Angeles Times
Fusion bien tempérée d’un élégant jazz-rock et de sensuelles racines africaines. On aime tout chez Bona - Les Inrocks
An extraordinarily gifted musician, a world-class bandleader, bass guitarist, singer and songwriter. Bona's music goes beyond "superbly played" to an intense and essentially Afro-centric music for the new century - The Guardian
Avec son sens du groove torride et un jeu torrentiel, d’une précision sans pareil, Richard Bona est un bassiste virtuose parmi les plus recherchés à l’heure actuelle. Parallèlement, il mène une carrière solo qui l’a transformé en véritable star du jazz world, car il est aussi un songwriter et chanteur touché par la grâce. Les harmonies modernes, le groove puissant et des mélodies de son Cameroun natal, c’est la recette de Richard Bona pour une musique qui a enthousiasmé les publics du monde entier.
Le bassiste, chanteur et compositeur Richard Bona, né à Minta, au Cameroun, héritier d'un grand père griot, commença dès son jeune âge par toucher un peu à tout - balafon, percussions, saxophone, guitare, orgue. En découvrant Jaco Pastorius, le grand maître de la basse moderne, il s’est définitivement lancé dans une fulgurante carrière de bassiste. A 22 ans, guitariste et bassiste confirmé, il poursuit en France ses études de musique. C'est l'occasion pour lui de jouer avec des jazzmen et artistes pop d'envergure comme Didier Lockwood, Manu Dibango, Jacques Higelin ou Salif Keita. En 1995, il émigre aux Etats-Unis, où il sera pendant deux ans le directeur musical de l'orchestre de Harry Belafonte. Il collabore ensuite avec Joe Zawinul, Bob James, George Benson, Paul Simon, Regina Carter, Chaka Khan, Michael Brecker, Pat Metheny, Eddie Palmieri e.a., conjuguant avec brio le jazz au rock, au hip-hop et aux musiques du monde.
Richard Bona lance un premier album solo en 1999, Scenes from My Life qui marie couleurs jazz et rythmes ouest-africains. En 2002, après la sortie de l'album "Reverence" (2001), Bona entame une tournée mondiale au sein du groupe de Pat Metheny. Puis il enregistre "Munia : the tale" (2003), où l'on retrouve ce mélange de jazz, de rock et d'Afrique, dont il est devenu spécialiste, d’une touche brésilienne. Tiki (2006) a été enregistré avec des invités de marque, dont le chanteur John Legend et le guitariste Mike Stern. The Ten Shades of Blues paraît en 2009. En 2010, il est lauréat du Prix Antonio-Carlos-Jobim. L'album acoustique Bonafied sort trois ans plus tard.